Bandeau "La fille de demain" (avril 2025)
Portrait officiel de Philippe Meisburger. Date : Juillet 2022

Diplômé d’une école d’audiovisuel, Je puise dans le septième art mes multiples univers ainsi que mon style résolument visuel et rythmé, comme un film au montage survolté, mais néanmoins porteur de sens.

Je conçois l’art du récit comme un divertissement grand public que je mets au service d’idées et de valeurs qui me sont chères, au bénéfice d’une vision du monde résolument ouverte, inclusive et tournée vers l’avenir.

Thriller, roman contemporain, science-fiction, conte philosophique : Je ne me mets aucunes barrières. Seul compte le plaisir du lecteur (qui de nos jours est très souvent une lectrice).

La fille de demain est son quatrième roman après L’inaccessible étoile (2023), Le livre qui parle de toi (2022) et C’est arrivé en avril (2019).

Je suis également photographe et à ce titre j’ai également publié un livre de photographies : Se souvenirs des beaux jours (2023)


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Son dernier roman à date : La fille de demain

Il l’aime depuis toujours, elle est venue pour le sauver. Maintenant, il leur faudra fuir et découvrir pourquoi.

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Ses livres et romans

Découvrez sa bibliographie : Aventure, science-fiction, thriller, roman, conte philosophique et même livre de photos, présentés ici dans un ordre volontairement aléatoire.

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Séances de dédicace :

Découvrez mes vlogs d’auteur, où je vous présente le déroulement de mes séances de dédicaces.

Espace culturel du Leclerc d’Issenheim – 27 septembre 2025 · Dédicaces précédentes

Prochaine séance de dédicace :

📅24-25, octobre 2025 – 31 octobre 2025,
1. novembre 2025 – 8-9 novembre 2025

📍Où : Rencontres photographiques des trois pays, Église de garnison, 23 rue Barbanègre, 68330 Huningue
🕑Quand : Les samedi de 14h à 18h – Les dimanches de 10h à 18h
📖Livres présentés :

Et bien plus encore…

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Interview

Afin que ses lecteurs puissent entrer dans son univers, l’auteur s’est prêté au jeu de l’interview. Bonne lecture !

Comment es-tu arrivé à l’écriture ?

Tout a commencé vers l’âge de 17 ans. Bien qu’ayant lu quelques romans dans mon adolescence, notamment une bonne partie des Jules Verne, des H.G.Wells comme La machine à explorer dans le temps, ou bien sûr Tolkien (Bilbo et Le seigneur des anneaux), je voyais en la lecture une évasion sympathique que je pratiquais surtout le soir avant de m’endormir. Mais force est de reconnaître qu’elle restait la parente pauvre, le plan B lorsque la télévision et son indispensable compagnon le magnétoscope n’étaient pas disponibles. Bref, j’étais (et je reste) avant tout un enfant de la télé et du cinéma.

Pourtant un soir d’été en 1992, je me suis pris l’une des grosses claques cinématographiques de ma vie en… lisant en livre. Ce livre, c’était Jurassic park de Michael Crichton. Un livre à l’écriture simple mais charpentée comme les films que j’adorais dévorer. Une narration purement visuelle qui faisait littéralement naître le film sous mes yeux de lecteur. C’est cette nuit que j’ai compris qu’avec un simple traitement de texte, il est possible de faire jeu égal avec les grands maîtres de mon septième art adoré. Que certes, pour réussir ce tour de force, le talent est indispensable, mais que ce dernier devient dès lors la seule variable d’ajustement.

Pourtant, entre cette prise de conscience et mon premier roman, vingt-quatre ans s’écouleront. Pourquoi cette mise en application tardive ? Disons que mon temps n’était pas encore venu.

Philippe Meisburger adolescent
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Le poste de travail de l'auteur

Qu’est-ce qui t’a décidé à te lancer ?

Vers l’âge de quarante ans, j’avais fait le tour de ma « vie d’avant ». C’est alors que, en l’espace de quelques mois, plusieurs rêves me cueillent à mon réveil. Plusieurs rêves qui, mis bout à bout, formaient l’ossature d’un roman qui allait devenir mon premier bébé de papier : C’est arrivé en avril. Ne restait plus qu’à l’écrire…

C’est donc avec l’inconscience du jeune auteur que je me suis lancé. Je me revois encore calculant le nombre de signes d’une page dans mes bestsellers favoris, histoire de déterminer quelle « distance je devais tenir ». Ironie du sort : mon premier roman pèsera presque le double de la quantité que j’estimais nécessaire pour être crédible, et ce sans chapitre superflu. Depuis lors, mon problème n’est plus tant de « tenir la distance » mais de faire au plus court possible, sachant qu’avec moi, plus court reste toujours bien long (mais bien dense). D’ailleurs depuis, lorsque j’écris, j’en ai presque la voix d’un diablotin dans la tête qui me tance. « Fais court, les gens ne liront jamais un aussi gros pavé ! » me dit-il. À vous de juger si je l’ai écouté…

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Une fois ce premier roman écrit, a-t-il rapidement trouvé un éditeur ?

Ah mais il n’en a toujours pas trouvé à date ! Après en avoir achevé la rédaction, avant même de l’envoyer aux maisons d’édition, j’ai décidé d’écrire un second texte – histoire que les éventuels refus ne me minent pas au point de tout arrêter. C’est donc ainsi qu’avant même d’envoyer C’est arrivé en avril aux maisons d’édition, j’ai d’abord rédigé La fille de demain. Une fois La fille en boîte, enfin je me suis autorisé à envoyer C’est arrivé en avril aux maisons d’édition, qui l’ont unanimement rejeté.

Par la suite, C’est arrivé en avril fera même Les nouveaux auteurs et surtout Nouvelles plumes – une maison d’édition « participative » désormais défunte, pilotée par France Loisirs. Il y obtiendra la note stellaire de 8,97/10 mais… ne sera néanmoins pas retenu pour l’édition car Trop SF pour la littérature générale, pas assez SF pour les sphères des littératures de l’imaginaire. Bref, mon roman était peut-être bon, mais il ne rentrait pas dans les cases, et ce bien que de nombreux lecteurs l’aient trouvé à leur goût.

C’est néanmoins en échangeant avec d’autres auteurs tentant eux aussi l’aventure des Nouvelles plumes que j’entends parler de l’autoédition. Suite au refus des Nouvelles plumes, je me décide donc à tenter cette aventure. C’est ainsi que C’est arrivé en avril a été lancé en juillet 2019. Il reste à date mon bestseller, même si Le livre qui parle de toi le talonne de près.

Philippe Meisburger envoyant ses manuscrits aux maisons d'édition
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Signature du contrat d'édition

Mais tu as fini par trouver un éditeur…

Oui ! Mais pour mon second roman publié, ce Livre qui parle de toi dont je parlais précédemment. En fait, pour lui aussi, tout avait à nouveau mal commencé. Je l’avais envoyé à vingt-quatre maisons d’édition. Bilan des courses : dix refus par lettre type et quatorze autres sous la forme d’un silence encore plus pesant.

Mais à la même époque, une jeune femme que j’ai connue à l’époque de Nouvelles Plumes a quant à elle été repérée par une jeune maison d’édition lyonnaise, M+ Éditions. Elle m’a convaincu de tenter ma chance chez eux et cette fois, le téléphone a sonné pour me dire que oui, j’étais pris ! Vous vous doutez bien que c’était sans doute l’un des plus beaux jours de ma vie.

Après quelques négociations, je signe le contrat quelque semaine plus tard. Le roman finira par sortir le 29 septembre 2022. Ce sera la première fois que je pourrai trouver mes écrits dans les rayons des librairies, un moment unique dans toute vie d’auteur !

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D’où tires-tu ton inspiration ?

Vu les réponses précédentes, je ne vous surprendrai pas en vous disant que je tire principalement mon inspiration du septième art. Films, séries… et quelques livres aussi. Une autre source d’inspiration est mes rêves. C’est arrivé en avril est la fusion de plusieurs d’entre eux, tandis que L’inaccessible étoile est la transposition quasi in extenso d’un cauchemar qui m’a frappé au début du premier confinement.

L’autre source d’inspiration qui m’est chère est la nature, surtout – lire « exclusivement » – à la belle saison. Une nature que je ne trouve pas loin de chez moi. Une nature luxuriante, colorée, envoûtante, magique, propice aux longues balades qui vite se transforment en rêveries si propices à associer des idées afin qu’en germent de nouvelles, m’amenant chaque fois un peu plus loin sur le chemin de mon inspiration.

L'auteur se baladant dans une nature verdoyante
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Une pile de livres montant jusqu'au ciel.

Des projets ?

Plein ! Toujours ! Sortir ma Directive Jupiter bien sûr, terminer le nouveau roman sur lequel je travaille en ce moment, et surtout, surtout continuer à avoir des idées riches et variées. À date (début 2025), j’ai déjà quatre projets potentiels de romans qui germent sous mon crâne : une suite à La fille de demain, un récit autobiographique couvrant mes années 90, mais aussi et surtout deux techno-thrillers délicieusement angoissants… vous voyez, je suis loin d’avoir dit mon dernier mot !

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Un carex - le logo de Philippe Meisburger